samedi 16 mars 2013

Chine : une dictature dans la mondialisation

Texte rédigé par Énora Gagné

Vermander, Benoit. Chine : une dictature dans la mondialisation ; Falun gong : un militantisme déterritorialisé. Édition Esprit, Paris, France, 2011, p.95-111.

Benoit Vermander est un jésuite français, sinologue et politologue, directeur de l'Institut Ricci de Taipei. Il est aussi directeur de rédaction de la revue en langue chinoise Renlai. Ses travaux portent surtout sur les religions chinoises d'aujourd'hui et la théologie catholique chnoise et la place de la Chine dans la mondialisation. Il a rédigé plusieurs articles, livres et il a aussi étider des articles sur la politique, la religion en Chine et à Taiwan.

Vermander divide son texte en quatre partie, tout en se basant sur des sources premières, des critiques, des analyses, des rapports et même des déclarations et conférences de presse qui peuvent être accédés sur des sites internet. Dans la première partie du texte, l'auteur le consacre à l'explication des mouvements qu'a le falun gong à l'encontre du gouvernement à partir de 1999. C'est l'année où le falun gong est déclaré illégal par le PCC. Ces différents mouvements pacifiques contre les persécutions gouvernementales des ptiquants du falun gong sont démontré ainsi que la brutalité policière envers les manisfestants.


La deuxième partie, l'auteur écrit sur le gouvernement qui considèrerait le falun gong comme un <<culte pervers>> ou une organisation sectaire. Par la suite, il explique, grâce à une brochure que le gouvernement aurait produite, la définition de <<culte pervers>> comme étant un organisation illégale qui utilise de façon illicite le terme de religion pour égarer les esprits et porter atteinte à la société. L'auteur continue dans cette partie par une description de ce qu'est le falun gong, ce serait des exercices spirituels que les membres doivent pratiquer en public pour mieux progresser dans leur cheminement personnel. Le fondateur du mouvement Li Hongzhi insiste sur le fait que les pratiques doivent être publique et que c'est ce caractère démonstratif qui donne un efficacité et une signification qui contribue à la monté de leur niveau spirituel et à propager et rectifier leur dharma dans l'univers. Vermander finit cette partie avec sa description du falun gong qui serait une version moins péjorative que celle que donne le gouvernement de culte pervers.

La prochaine partie, est celle qui relate les conséquences et les réactions face au arrestations des membres du falun dafa et leurs resistantes. Quand un adeptes du falun gong était arrêté, il devait écrire une ou plusieurs de son que le gouvernement appel les <<trois lettres>>, une lettre pour renier la pratique, une autre pour se séparer et la dernière pour ce repentir. Mais plusieurs adeptes resistent contre ses réprétions et sur le site chinois du falun gong, il y a des <<contre-lettre>>, des témoignages que les trois lettres ont été forcer des signés sous la contrainte et les répudier.  L'auteur relate aussi qu'il y avait des adeptes dans tout les niveaux de la société et ce même au sein du PCC. Le falun gong utilisait aussi les médias populaires, comme les cellulaires et internet, comme moyen de comminucation. Dans le reste de l'article, Vermander parle des confrontations entre le gouvernement et Li Hongzhi et de ce qui est un bon disciple et un mauvais disciple. Il termine son texte avec des thèses des enseignements que l'on observe au cours des deux dernières années dans le falun gong.

Ce texte est intéressant pour le cours, car on peut y retrouver le début des conflits entre le falun gong et le gouvernement et ce qui en a découlé. Il donne aussi une vue d'ensemble sur la différente de ce mouvement et la religion et sa ressemblance avec les cultes.

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