dimanche 21 avril 2013

The Church as a Surrogate Family Working Class Immigrant ChineseYouth

Texte de Mélanie Gougeon

CAO, Nanlai. The Church as a SurrogateFamilyWorking Class Immigrant ChineseYouth : An Ethnography of Segmented Assimilation, Oxford UniversityPress, Sociology of Religion, vol. 66, no. 2 (été, 2005), pp. 183-200.

Nanlai Cao a étudié à l’Université national d’Australie. Il a un doctorat en anthropologie. Il est un assistant professeur de recherche à l’Institue de l’humanité et des sciences sociaux de l’Université de Hong Kong. Il a écrit plusieurs articles dont Christians, Power, and Place in Contemporary Wenzhou et ConstructingChina’sJerusalem. Il s’intéresse particulièrement aux aspects religieux et sociaux de la réforme de la mondialisation de la Chine sur le Wenzhou.

Aux États-Unis, le rôle de la religion d’en l’adaptation est expliqué dans plusieurs articles. La religion est très importante dans la vie des immigrants. L’étude de Nanlai Cao analyse si la religion serait un facteur à l’intégration et l’acclimatation des jeunes chinois immigrants dans Chinatown à New York.

Le Chinatown de New York est un sujet souvent abordé dans les études des ethnies. Dans son article, Nanlai Cao consacre une partie à décrire son histoire de 1852 à 1965.


Ces recherches se sont plutôt concentré sur le « Cantonese Church of the Lord » dans Chinatown. L’étude de terrain s’est passé entre mars 1999 et mars 2000. Il a assisté aux services du dimanche, à groupes de réunion, etc. pour voir l’échange entre les ethnies.

Les jeunes du CCL souffrent de stress entre autre le manque de confiance, la solitude. Le support familial est pratiquement absent. Les familles immigrantes souffrent de disputes et de crise.Au moment de crise dans la famille, l’église sert de socialisation. Yang observe que le Christianisme adopte des habitudes chinoises dans Chinatown.

Les nouveaux jeunes immigrants adoptent de nouveau système de sens pour faire face à la marginalité. La CCL offre un endroit pour les jeunes immigrés défavorisés qui se sentent déplacés dans la société. Elle les aident à trouver un sentiment d’appartenance et d’autonomie, et montre leur amour pour leurs parents. Cette communication et l’affichage des sentiments ne vient pas de la tradition chinoise et est donc américanisées.

En conclusion, selon Nanlai Cao, son article comble de trois façons une lacune dans les recherches sur la religion et la nouvelle immigration. Les auteurs s’intéressent plus aux Asiatiques américains. Cet article est important parce qu’il ajoute une valeur à l’assimilation par l’église. Cette étude montre un aperçu détaillé d’une petite partie d’une communauté religieuse immigrante.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire